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Les dégâts et les débris

 

 

Il est clair que quelque chose a causé d’importantes destructions dans le Pentagone. C’est sur la question des dégâts, souvent ramenée à celle d’un « trou trop petit pour qu’un avion rentre dedans » que la question de l’attaque sur le Pentagone a souvent été ramenée et est la plus connue du public. S’il y a certes matière à polémique, il apparait que, regardée à la loupe, la nature des dégâts, devant la façade et sur celle-ci n’est pas incompatible avec celle qu’aurait pu faire un avion 757 lancé à 850 km/h. Même si, cette expérience n’ayant jamais été réalisée, il est difficile d’imaginer ou même de calculer l’effet attendu d’un tel choc. On peut d’ailleurs constater la difficulté qu’ont eue les experts de tout poil pour expliquer la quasi-disparition de l’avion et les omissions flagrantes de la reconstitution informatique réalisée par l’Université de Purdue.


En revanche, comment expliquer le trou de sortie de l’anneau C, presque parfaitement circulaire ? Là encore, les experts s’y sont cassé les dents… Et que dire des témoignages concordants sur d’autres dégâts dans l’anneau B, qui officiellement n’a pas été touché ?

S’il est vrai qu’aucun morceau conséquent d’avion, nez, aile, fuselage n’a été retrouvé, de nombreux petits morceaux ont jonché la pelouse et l’intérieur du bâtiment… Leur petite taille a tout d’abord étonné, mais il s’avère que c’est surtout l’absence de numéro de série sur ces pièces, la curieuse précipitation des autorités à les ramasser et la présence d’individus suspects dans les décombres qui est la plus surprenante. Et comment expliquer qu’une partie de ces débris se retrouve sur le toit ?

 

Des incendies se sont déroulés dans le bâtiment, mais des experts doutent qu’ils puissent provenir de la combustion de 20 000L de kérosène, notamment en raison de la couleur de la fumée dégagée et parce qu’un feu qui vaporise le titane mais laisse l’ADN et le papier intacts laisse songeur. S’agirait-il en réalité de l’effet d’explosifs posés dans le bâtiment ? Des militaires aguerris ont d’ailleurs cru sur le coup qu’une bombe venait d’exploser, certains certifiant même avoir reconnu une odeur de poudre caractéristique.

 

De plus, des éléments convergents suggèrent qu’une violente explosion eut lieu dans le Pentagone à 9h32, soit 5 minutes avant l’attaque. Tous ces éléments ont amené Franco Fracassi, le réalisateur du film ZERO, à conclure qu’on se pose les mauvaises questions au sujet de l’attaque sur le Pentagone : en réalité, l’important n’est peut être pas de savoir ce qui est entré dans le Pentagone, mais ce qui s’est passé dans le Pentagone…